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Les travaux des Chefs d’Etat et de Gouvernement ont donc pris fin ce même vendredi 8 janvier 2016. La clôture des travaux a été sanctionnée par l’élection d’un nouveau président à la tête de l’Union en la personne de Alassane Dramane Ouattara, président de la République de Côte-d’Ivoire.
Ph/DR-: L’acte qui consacre le passage de témoin entre le président sortant, Dr Boni Yayi du Bénin et le président entrant A lassane Dramane Ouattara de la Côte-d’Ivoire, élu président en exercice de l’Uemoa.
A travers une cérémonie fort simple, l’acte qui consacre le passage de témoin entre le président sortant, Dr Boni Yayi du Bénin et le président entrant A lassane Dramane Ouattara de la Côte-d’Ivoire, élu président en exercice de l’Union économique monétaire ouest-africaine (Uemoa).
Des travaux de ce 19ème sommet, on retient un nouveau départ reconnait le président Boni Yayi pour qui l’Union avec le président ivoirien est dans de bonnes mains ; même si les défis qui restent immenses notamment : la sécurité alimentaire et nutritionnelle ; la sécurité et la paix sans oublier les chantiers d’infrastructures régionaux, l’énergie pour les pauvres, etc. «Il y a également le défi du changement climatique, au-delà des défis de sécurité, nous devons en tenir compte aussi » rappelle-t-il.
L’état des économies de l’espace est bon ; mais il faudra travailler à les préserver par des réformes et poursuivre les chantiers ouverts. Alassane Dramane Ouattara (ADO) rassure ses paires quant à sa disponibilité et son engagement à être à la hauteur de la confi ance placée en lui et des énormes attentes.
Pour ce faire, il prescrit la marche à suivre pour consolider l’Union : «Nous pensons que la coopération politique déjà exemplaire et la veille stratégique sur les questions sécuritaires devraient être renforcées en raison des menaces de toutes sortes, de tous ordres qui guettent notre région ».
Pour le nouveau président entrant, l’Union doit tout faire approfondir ses réflexions relatives à la croissance économique sur les thèmes suivants : le développement du marché des capitaux de l’union ; la baisse du coût des financements de l’économie dans le but de réduire la courbe du marché monétaire afin de mieux refléter la solidité des économies de l’Union ; l’accroissement du taux de bancarisation dans les pays membres, afin de stimuler l’épargne, la réduction du coût des services bancaires, l’intégration des nouvelles technologies, la formation dans les services bancaires et l’amélioration de la circulation des informations financière dans l’espace Uemoa pour une meilleure appréciation des risques.
