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Sénégal : plaidoyer pour le e.journalisme


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Le e.journalisme était à l’ordre du jour lors du séminaire de formation sur les secteurs régulés, organisé par l’Autorité de régulation des télécommunications et des postes (Artp), qui s’est achevé ce 22 août 2014. Les experts ont essentiellement fait le plaidoyer pour la promotion du e.journalisme. Aboubacar Sadikh Ndiaye, consultant formateur en web 2.0 et en e.journalisme, définit ce métier d’avenir comme la pratique du journalisme sur un support digital, c’est-à-dire le web, les réseaux sociaux et même la téléphonie mobile.

Le e-journalisme apparait aujourd'hui comme ce métier d’avenir ; comme la pratique du journalisme sur un support digital, c’est-à-dire le web, les réseaux sociaux et même la téléphonie mobile.

Le e-journalisme apparait aujourd’hui comme ce métier d’avenir ; comme la pratique du journalisme sur un support digital, c’est-à-dire le web, les réseaux sociaux et même la téléphonie mobile.

A l’intention des professionnels de la communication, Aboubacar Sadikh Ndiaye dit que web 2.0 désigne la seconde génération du développement du web dans sa conception. Cette évolution vise « la facilité de communication, le partage de l’information, l’inter-opérationnalité, la conception centrée sur l’utilisateur et la collaboration sur la grande toile mondiale ». Il prévient les journalistes qu’ils doivent s’adapter à « ce nouveau mode de collecte de l’information mais aussi de traitement et de diffusion de l’information journalistique sur un support dématérialisé qui est le numérique ».

Mountaga Cissé, consultant formateur et spécialiste des nouveaux médias, explique que « les outils technologiques sont une aubaine pour les journalistes, car ils permettent un meilleur traitement de l’information ».

Le e.journalisme devient donc une nécessité. Dans cette affaire, les médias sociaux « offrent également des opportunités de trouver des sources d’informations au cœur des événements qui font l’actualité pour les journalistes et les rédactions », rappelle Basile Niane, web-journaliste et blogger. « Avec les téléphones mobiles, les gens créent des contenus, des photos et des vidéos vraiment intéressants que nous pouvons facilement trouver et intégrer dans nos reportages », a-t-il expliqué. Autant d’arguments qui justifient qu’un coup de pousse soit donné au e.journalisme. (Agence Ecofin) –


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