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Notre confrère sud-africain, Mathatha Tsedu, Directeur exécutif du SANEF reçoit le titre du Docteur honorifique


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Notre propre directeur exécutif SANEF, Mathatha Tsedu a été honoré par par l’Université du Western Cape au Cap (UWC).  Nous sommes très heureux de ces développements. Les habitants de Mulovhedzi (govhani la Mulambo wa Nzhelele) doivent être encore plus heureux. #DrMathathaTsedu Voir la déclaration de SANEF:

Le Forum des rédacteurs nationaux SA tient à féliciter son directeur exécutif, Mathatha Tsedu, qui a été honoré aujourd’hui par l’Université du Western Cape au Cap. Un activiste et éditeur vétéran, qui ont bravé le pire de l’apartheid répression en tant que journaliste et qui a joué un rôle important et essentiel dans les efforts pour transformer les médias dans une SA démocratique, Mathatha a reçu un doctorat honorifique, doctorat en Arts.

PH/DR-:Notre confrère sud-africain, Mathatha Tsedu, Directeur exécutif du SANEF honoré

PH/DR-:Notre confrère sud-africain, Mathatha Tsedu, Directeur exécutif du SANEF honoré

Une reconnaissance pour le rôle Mathatha a joué et continue de jouer dans la lutte pour la liberté des médias en Afrique du Sud et sur le continent, ainsi que l’intégrité, le courage et la déclaration courageuse à travers l’édition  de ses journaux qui  ont marqué sa carrière stellaire.

Sanef estime qu’il est que cet hommage  estapproprié pour Mathatha qui a servi son pays, le continent à travers sa profession avec dévouement et honneur et qui continue d’être un exemple pour la légion de journalistes qui l’ont suivi, en particulier ceux qui ont travaillé avec lui.  Et c ceux qu’il a encadré et formé.

C’est également une récompense pour un homme qui est considéré comme l’un des chiffres imposants de journalisme sud-africain. C’est la logique des choses pour l’enfant qui rêvait de devenir médecin et qui aujourd’hui  reçoit le titre du Doctorat honorifique.

Dans une interview en 2012, Mathatha décrit lui-même comme «la personnification du cliché africain qu’il faut tout un village pour élever un enfant». «Ma mère est morte quand j’avais cinq ans et mon père a perdu son emploi quand j’étais à l’école primaire. J’ai grandi dans une famille qui n’a rien, mais il y avait des gens dans la communauté qui m’ont soigné. S’il y a quelque chose que je peux distiller en une philosophie de vie basée sur ce contexte, je dois toujours être digne des efforts de ceux qui m’ont aidé » avait-il déclaré.

Sanef tient  également à remercier l’Université du Cap occidental pour avoir honoré Mathatha aujourd’hui. Ceux qui recevront ce message reconnaitront que c’est en effet « toujours pour l’Afrique ».

 


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