« Nous devons également examiner les moyens d’engager le secteur privé, l’un des principaux défis étant de faciliter l’émission d’obligations vertes sur le continent », a déclaré Jean-Paul Adam, directeur du changement climatique et des ressources naturelles à la Commission économique pour l’Afrique (CEA).
Il est également important pour le continent d’innover pour ainsi mobiliser des financements indépendamment des 100 milliards $ promis par les pays développés pour l’action climatique, a ajouté M. Adam. « Nous devons donner aux pays africains la capacité de faire la différence par eux-mêmes et de recourir aux instruments disponibles pour mobiliser du financement, les revenus fiscaux ayant été grandement affectés par la crise de la covid-19 ». (Agence Ecofin)