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M. Mounirou Tchacondoh, Coordonnateur national du Projet, « Un seul monde sans faim » EWOH2 explique son projet : « Dans le cadre des activités de vulgarisation, aucune couche sociale ne sera mise de côté … »


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Le coordonnateur national du Projet, « Un seul monde sans faim »  entendez EWOH2 en Allemand, M. M. Mounirou Tchacondoh, explique ici, les tenants et aboutissants de son projet. C’est en effet un programme sous régional lancé depuis 2016 et qui intervient au Bénin, au Burkina Faso et au Togo.

Ph:DR: M. Mounirou Tchacondoh, Coordonnateur national du Projet, « Un seul monde sans faim » EWOH2

Ph:DR: M. Mounirou Tchacondoh, Coordonnateur national du Projet, « Un seul monde sans faim » EWOH2

En effet, la mise en œuvre de ce projet vise trois objectifs, notamment : Au niveau national, comment travailler avec les décideurs pour que des réformes foncières puissent se faire en tenant compte des besoins et des intérêts des femmes ; Au niveau local, comment les autorités politiques pourraient travailler pour prendre des actes conformément au politique nationale pour que les femmes aient plus accès au droit d’usage des terres ; autrement dit, comment renforcer les législations existantes pour permettre aux femmes d’accéder à la terre, même si elles ne sont pas forcément propriétaires, qu’elles puissent au moins avoir un accès sécurisé sur les terres mises à leur disposition pour exploitation ; Et enfin discuter avec les chefs traditionnels qui sont des acteurs très importants chez qui se posent les difficultés. Avec les plaidoyers, ces derniers peuvent aider les femmes à jouir de leur droit de propriété et d’usage sur la terre.

Il s’agit aussi de mettre l’accent sur les femmes à la base avec pour thématique le foncier, une question très sensible mais surtout pour assurer la sécurité alimentaire de tous afin d’atteindre l’objectif de la Fondation Konrad Adenauer à travers le projet, « Un seul monde sans faim ».

Notre constat est qu’avec la mise en œuvre de ce projet, le Bénin  évolue par rapport aux autres pays  dans le cadre des activités de sensibilisation et de vulgarisation, aucune couche sociale ne sera mise de côté, les femmes à la base, les femmes cultivatrices, les élus locaux, notables et chefs traditionnels.


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